La santé où la manière de l'envisager

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        Dans le numéro de septembre du magazine Capital, il y a un article consacré à la promotion du livre « Les prêcheurs de l’apocalypse – Pour en finir avec les délires écologiques et sanitaires» de Jean de Kervasdoué. Ce livre aborde de nombreux thèmes et polémiques écologique et sanitaire mais en en montrant que la plupart ne sont que des préjugés qui ne sont que trop ignoré. En voici donc un extrait concernant la prévention, j’en ferais ensuite mon commentaire.

 

 

 

 

PréventionIl est faux de croire qu’elle contribue toujours à réduire les dépenses de santé

 

        La prévention se justifie pour des raisons éthiques ; réduire les accidents de travail, limiter les accidents domestiques, vacciner les enfants … Toutefois, fau-il toujours le faire à n’importe quel prix ?

 

    Une politique de prévention efficace conduit parfois à une réduction des dépenses de santé : il en est ainsi de la vaccination des enfants ou de toute mesure qui favorise l’arrêt du tabac chez les femmes enceintes.

    Mais cela n’a rien de systématique .La raison en est simple : seules les dépenses immédiates qui précédent le décès sont considérées. Certes, avant de mourir d’un accident, d’un abus d’alcool ou de tabac, les personnes concernées sont prises en charge par le système de soin et si elles avaient eu une vie plus saine, l’assurance maladie aurait réalisée des économies. Mais les personnes dont la vie se prolonge grâce à la prévention ne sont pas pour autant immortelles. Elles mourront un jour, d’autre chose.

    En attendant, elles continuent de vivre, ce qui veut dire qu’elles sont parfois malades, qu’elles sont soignées, qu’elles seront peut être atteintes plus tard d’une maladie du grand âge, lourde de conséquence financière pour la société.

        La question des effets bénéfiques ou non de la prévention est le résultat du des dépenses de soins pendant toute une vie […]. De ces calculs, on retire que les alcooliques, bien que leur vie soient plus brève coutent plus cher à l’assurance maladie que la moyenne des français ; quant aux tabagiques, leur vie également plus courte induit au contraire moins de dépenses.

        Personnes n’envisage d’inciter à fumer pour contribuer à réduire le déficit de la Sécu, mais la prévention ‘y aide pas forcément.

 

 

 

 

Conclusion : Si on devait appliquer cette conclusion à notre société voilà ce qu’il faudrait faire :

-comme ça coute cher à soigner, interdisons l’alcool  : 0

 

-encourageons la cigarette = hausse des rentrées fiscales pour l’Etat = baisse du déficit et/ou baisse dépense de la Sécu ou hausse de ses revenus.

 

Finalement l’Etat serait le grand gagnant à promouvoir la cigarette …

Publié dans Sujets débat

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C
D'accord avec sumi...je confirme article intéressant, quant aux blagounettes, c'est du Clément tout craché...^^
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S
j'ai arrete la cigarette,interresant ton articles et tes blagonettes @+
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